Il m'est souvent arrivé d'être l'objet de fantasme ou d'être la pulsion excitante de
quelqu'un, d'inconnu ou de personnes proches. Quand c'est un inconnu c'est surprenant sur l'instant mais moins troublant que quand c'est un ami ou quelqu'un de la famille. En l'occurence,
l'une de ces experiences était avec des amis d'enfance qui faisaient partis de la famille: Adrien et Benjamin. Nos parents se connaissent depuis longtemps, en fait ils se connaissaient avant que
moi et les 2 frangins ne soyont nés. C'est donc naturellment que l'on se voyait souvent, qu'on mangeait régulièrement chez l'un et l'autre, que l'on dormait chacun son tour dans la maison de
l'autre. J'allais plus souvent dans leur maison qui était plus grande (au moins un 150m²) et où il y avait tout le temps du monde. Ils habitaient à 2 pas de chez moi dans la même rue, j'adorais
aller chez eux car c'était tout le temps la fête avec de bons grands repas, plein de monde marrant de la famille et de la musique jusque très tard. On y faisait la fête au moins une fois par
semaine quand ça n'était pas 3-4 fois régulièrement dans la semaine, chaque occasion était un prétexte de fête. J'adore cet esprit décontracté et épicurien qui imprègne cette famille là. Les
parents (oncle-tantes) ne s'offusquaient pas de nous laisser s'amuser jusque 22h00 ou 01h00 du matin quand on était petit (de toute façon on s'endormait naturellement avant 22h00 avec
l'épuisement), je rigolais avec mes cousins et des amis d'amis de la famille. Comme on se connaissait depuis tout petit on se considérait comme cousins, leurs parents d'ailleurs m'appelaient
neveu et mes parents étaitent appelés frère et soeur. J'adorais m'amuser chez eux et je les trouvais bien plus agréables que d'autres parents de copines de classe qui sont d'une froideur avec
leur conservatisme et arrièrisme. Par exemple, leur anxiété deplacée qu'un enfant doit se coucher à telle heure, ne doit pas dire tel mot, doit parler d'une certaine manière, doit être comme si
ou comme ça. Chez eux on était libre d'être nous même c'est à dire des ados qui jouissaient de la vie et non pas comme des petits adultes formatés à des règles du siècle passé comme c'est le cas
de nos jours.
Avec Adrien et Benjamin qui étaient aussi frères dans une
définition classique, on s'amusait donc souvent ensemble: faire du foot, jouer à la console, imaginer qu'on était dans un vaisseau spatial avec pleins d'aventure quand on allait sur les
structures de jeux de parc etc... On était vraiment dans l'osmose des jeux ensemble et dès qu'ils proposaient un truc je les suivais en sachant qu'on allait bien rigoler. Un soir de fête, une
eniéme fois je dormais chez eux dans le même lit superposé. A cette période dans le lit on se battait , s'attrapait, chatouillait et on se vannait. Ils étaient plus grands, ils avaient juste 1 an
de plus que moi si bien qu'ils gagnaient tout le temps à ces jeux. Je savais que j'étais moins fort et je me laissais donc souvent faire naturellement, c'était plus rituel et fraternel que de
réels combats. En tout cas, je m'en foutais de savoir si je pouvais les battre ou pas, je les laissais gagner ou prendre le dessus, je trouvais ça plus sympa de voir leur tête réjouie d'avoir
réussi après.
Ce soir là, après un temps de pause de récupération avec les prises qu'ils me faisaient, je me rendis compte que j'avais l'épaule et la joue mouillées. Sur le coup, je cherchais la provenance
d'une probable bouteille d'eau dans le lit, je ne trouvais pas de bouteille mais une flaque comme si on avait renversé un potage ou de la sauce de pâte. Quand on s'était battu, c'était dans le
noir, donc je ne voyais rien de ce qu'on avait pu renversé à ce moment là. Ne souhaitant pas dormir dedans je me suis levée et je suis partie dans la salle de bain pour me nettoyer et voir ce que
c'était du coup. Devant la glace, j'étais étonnée car je ne voyais rien, je sentais bien l'humidité mais pas de tache de sauce ou autre. En regardant de plus près je me rendis compte que qu'il y
avait comme de l'eau pateuse ou du savon liquide. Je ne comprenais pas pourquoi j'avais du savon liquide sur moi, d'autant que ça ne sentait pas la même chose. J'en avais sur l'épaule et tout le
visage gauche, j'en pris un extrait pour sentir et gouter, et ça n'était pas définitivement du savon. C'était trés peu salé et avec un léger goût de riz basmati. Sur le moment je ne savais
toujours pas ce que c'était ni d'ou ça venait. Je me nettoyais vite fais et retournais dans la chambre pour nettoyer aussi le matelas.
J'allumais cette fois-ci la lumière en disant que j'avais eu un truc bizarre
sur moi, les 2 frangins se moquaient de moi en couinant en guise de réponse. Je commençais à nettoyer la tâche sur le matelas avec des mouchoirs et un gant. Les 2 autres continuaient de
rire en ne me disant rien. Une fois fini le nettoyage, je retournais me coucher au lit en éteignant la lumière. Dans le lit, Adrien me demandait si je n'avais rien remarqué quand ils
m'immobilisaient tout à l'heure, je répondis que non. Ils couinaient de nouveau. Ensuite, ils me demandaient si ça ne m'était pas déjà arrivé de jouer le soir avec mon sexe. Je ne comprenais pas
trop le sujet de la conversation et je lui dis que non. Adrien avoua que depuis quelque temps il jouait souvent avec son sexe et que ca signifiait qu'il était grand contrairement à moi qui était
encore un petit joueur. Le fait que je ne mettais jamais masturber les surprenait, ayant l'air de signifier qu'à mon âge c'était anormal de pas savoir ça. Je n'avais pas envie de toute façon de
le faire à cet instant même si ça m'intriguait, ne serait ce que de le faire par expérience. J'avais déjà sucé Mario mais je ne m'étais jamais masturber toute seule. Bref, Adrien avoua qu'il
s'était branlé tout à l'heure comme il le faisait depuis quelque temps déjà. Le hasard a fait que ce soir là j'étais présent, et ça n'avait pas changé son habitude. Il me disait que j'avais un
jolie visage et que sur le coup il avait eu envie de le faire. Benjamin, lui à coté, était en train de le faire durant la discussion. Ne voulant pas me relever pour nettoyer encore une fois, je
lui disais de ne pas faire sur le matelas. Il rétorqua par fénéantisme qu'il n'avait pas envie de bouger et qu'il était bien. Je l'incitais à dégager du lit pour le faire couler hors du
matelas mais il ne bougeait pas. Il dit alors en vannant que si je ne voulais pas de tâche, je n'avais qu'à le boire avant que ça tombe sur le matelas. Pendant 2 secondes, il me pris au
défi du regard. Apparrement, il ne céderait pas et allait mouiller le lit, je ne voulais absolument pas dormir dans quelquechose de mouiller. Constatant qu'il continuait en souriant et qu'il ne
cédait pas je me suis dit toute façon je l'ai déjà fait, c'est pas si mauvais et de toute façon je sais qu'il ne s'en vantera pas auprès des autres copains. Ca serait trop la honte pour lui de
dire qu'il a fait quelqchose avec un garçon. Le prenant donc au défi, je le mis dans ma bouche et je le sucais très fort pour qu'il vienne vite.
Je pense qu'il ne s'y attendait pas du tout , je le vis dans son regard et
le sentis dans ma bouche. Il était devenu plus dur d'un coup et c 'était difficile de le sucer à la verticale, j'avais dû tourner ma tête pour poser ma joue sur son nombril afin de le sucer dans
le bon axe. Il avait le gland fort prés du nombril et j'avais du mal à le mettre droit à la verticale, ça résistait et je me rendis compte il était vraiment musclé. Au bout de 2-3 mn, il bloqua
ma tête avec ses mains et releva ses fesses en hurlant presque. Je fus un peu surprise et pu me débrouiller pour ne pas m'étouffer. En bougeant, il avait carrément touché ma glotte, j'ai du avalé
précipitamment pour ne pas m'étouffer. Avec Mario, j'avais eu le temps de laisser couler dans la bouche avant d'avaler, là avec Benjamin, ça rentrait direct dans la gorge. Si je n'avalais pas à
chaque jet je m'étouffais. Au premier jet, j'étais en train de respirer et j'ai senti que ça avait grimpé dans mon nez. J'avais sentie chaque palpitation de ses jets entre mes
joues. Autant il avait été rapide à venir autant il était long à me relacher ma tête. Même s'il avait fini de jouir, il voulait que je continue à le sucer encore quelque instant alors qu'il
n'y avait plus de jus qui sortait. Il bougeait ma tête avec ses 2 mains mais je me suis dégagée en lui disant que c'était fini maintenant. Adrien lui, était interloqué en voyant la scène de fin
et ne dit plus rien.
J'étais fatiguée et tout ce que je voulais maintenant c'était dormir :"C'est bon maintenant on peut dormir ?"
Assez tôt, j'ai essayé de découvrir le plaisir d'être bien remplie
par quelque chose de consistant. Etant petite, j'avais commencé par des stylos comme pas mal de personne je pense; puis sentant le flottement, on veut essayer plus gros pour plus de sensation. A
mes 12 ans, je voulais savoir ce que ca faisait d'être remplie par la petite rosette, pour le savoir, j'avais pris ma raquette de badmington pour tenter l'aventure.
Quelque mois plus tard en grandissant, la raquette de badmington commençait à
flotter un peu plus elle aussi, du coup, je passais à la taille au dessus c'est à dire au manche de la raquette de tennis. J'ai fais du tennis de mes 11 ans à mes 14 ans, j'ai toujours adoré le
sport. Là avec une raquette de tennis ce fut plus rude à passer. Déjà à la pointe du manche c'est plus octogonale et moins ovoide pour pénétrer. C'est à ce moment là qu'on se dit que ce qui se
tient dans une main comme une raquette de tennis est vraiment énorme mine de rien. C'est aussi à ce moment là que l'on pense que ça serait bien d'aider la glissade avec du lubrifiant. Comme
tous les novices qui s'insèrent des choses au début en étant petit, on commence avec de l'huile. L'huile c'est bien car c'est parfumé, pour ma part c'était l'huile d'olive, ça me faisait penser en
plus au littoral sud, vers la Mediterranée. Là ou quand on se ballade ça sent l'herbe de provence qui pousse par terre et aux champs d'olivier à perte de vue et à bout de nez. L'huile ca chauffe,
ça détend bien et quand on regarde sa peau ça brille. On trouve ca génial tout de suite (sauf qu'après il y a les traces d'huile sur tous les draps qui ne partent pas).
Plus tard, quand on regarde les films x et que naïvement on croit
tout ce qu'on voit dessus, on se dit que
m
Je n'aime pas trop me masturber ou plutôt je n'aime pas jouir en me masturbant pour
éjaculer en 10mn. Qand j'ai envie ou quand je ressens une excitation, j'aime me toucher longuement. Je me masturbe constamment sans éjaculer pour ressentir le plaisir le plus longtemps possible. Je
préfère sentir du plaisir pendant des heures plutôt que d'avoir un pic de jouissance terminé en 5mn. Quand je suis seule, je fais des mouvements de va et vient, lentement sur ma queue et je
m'arrète avant de sortir que ça monte. Je savoure ainsi le plaisir d'être constamment excitée. Je trouve ça beaucoup plus joussif. Je peus me toucher pendant tout un dimanche matin,
l'orgasme final d'ailleurs y est beaucoup plus intense, c'est une jouissance constante.
Pourtant je bande
souvent depuis toute petit. A l'école ça en devenait gênant, non pas que ça se voyait, mais c'était plutôt inconfortable dans la culotte. Etant cérébrale, le fait de voir des filles me rendait tout
raide rapidement. Ca n'était pas souvent grand chose qui mémoussait vite : la caresse des cheveux lors d'une bise de salutation, la senteur d'un parfum, la manière de parler, ces sussurements de
voix ou simplement la gracieuse attitude de certaines filles. Car toute n'avait pas cette grace féminine, certaines en jogging dégueulant l'argot pour se la jouer dans le coup interpellaient tout
le monde par leur audace m'as tu vu mais pas par leur finesse de style ou d'esprit. Je dis jogging mais celle en jupe à la démarche de hyène ,plus colorée de maquillage qu'un clown, le tout
agrémentées de grosse chaine de diamant en pvc étaient du même niveau. La culture Skyrock ne faisant pas que de la grace. Ce qui est le plus frappant c'est moins l'accoutrement que l'attitude qui
ne correspondait pas. Les filles quelque soit leurs vêtements (pantalon,jean,robe...) se démarquaient par leur prestance comportementale ou leur élocution enrobée d'esprit face à celles qui
n'avaient que l'apparât mais pas le contenu.
A l'école donc,
voir se mouvoir des filles comme des chats ou avoir l'oreille qui frémissait aux chuchotements durant les cours provoquait l'élèvation de ma partie virile à la hauteur de leur charme, plus elles
étaient authentiques et femme plus j'en devenais consistant. Je ressentais non pas d'envie de dévorer ou de me goinffrer sur elle mais une chaleur apaisante, l'envie de serrer dans les bras pour
sentir ces pulsations érotiques. Par exemple, je me souviens de ma prof d'économie sur laquelle j'observais les détails de ses mouvements, ses lèvres à la fois jolies et intelligentes de réponses,
son regard pétillant de vie, son sourire ensoleillé. J'étais en état d'excitation cérébrale durant tout le cours. Il m'arriva souvent de jouir tel quel dans mon pantalon sans mêtre tocher ni
frictionner. Pendant que je regardais discrètement ses yeux comme des perles d'eau de rosée du matin ou ses lèvres souples, ma queue palpitait à chaque jet. J'attendais la fin du cours pour me
nettoyer au toilette avec un mouchoir avant que cela ne s'imprègnait à travers le pantalon. Ces jouissances la valaient mieux qu'une branlette de 10mn.
De même avec mes ex, je n'aimais pas la pénétration. Le coup mécanique et précipité de queue que je trouve banal est donc sans saveur. Je préfère mille fois être près du minou pour
sentir son parfum avec mon nez, sentir son jus avec ma langue, sentir la dureté du clito, sentir les cuisses frémir sur mes oreilles, entendre ses halètements, et surtout la voir jouir. Le plus
jouissif est de voir une femme qui jouit, voir ce regard mi clos, ce visage rayonner, le corps se convulser. Le cunni permet d'être plus attentif, de gérer le rythme mais surtout de pouvoir faire
durer l'orgasme. Lors d'une pénétration il faut sans cesse se retenir de jouir pour durer et donc s'arrêter par à coup; avec le cunni on ne s'arrête pas et je peus enchaîner les orgasmes ce qui est
beaucop plus excitant à voir. Le toucher électrique de ma langue sur le clito que je masse sur toute la longeur de ma langue, laper goutte à goutte la cyprine qui s'épand, chatouiller l'entrée du
vagin délicatement au rythme du déhanchement du corps, éffleurer les lèvres fébriles, sentir se décontracter l'anus sous ma langue, tout ceci pendant que je caresse tout le corps, cuisses, ventre,
seins, cou, tous ses sensations me font le plus excité que de sentir le va et vient de ma queue. Je peus rester ainsi dur avec du plaisir plus longtemps, jusqu'à ce qu'elle décide d'arrêter.




