Vendredi 10 janvier 5 10 /01 /Jan 15:38

En quoi ai-je eu une une education gynarchiste ?
a vrai dire on n'en sait rien et on ne peut pas le savoir. Durant l'enfance et l'adolescence on ne peut pas le savoir car on n'a pas ses concepts ni ses theories la. On fait ce que disent les parents.

Alors comment j'ai decouvert que j'avais recu une education gynarchiste ?
Il se trouve que j'ai fais un bac es. Et en filiere eco-socio on etudie la sociologie (les formes de famille, les relation sociales, l'education etc...). C'est durant le lycee que je decouvre la notion de patriarcat et matriarcat. A ce moment la, je decouvre que finalement j'ai un mode d'education pas du tout dans la majorite contemporaine a la maison. Mais la ca reste juste le declic vague de depart sur ces notions la.
Je n'ai vraiment plus ou moins pris conscience que j'avais eu une education apparentée au gynarchisme qu'apres mes 20 ans par la rencontre de militantes feministes, par le biais de lectures sociologiques universitaires et par des rencontres. Je pense que si je n'avais pas fais cette filiaire scolaire je ne l'aurais jamais su ni deviner un petit peu ce que c'etait.

 

Alors qu'est ce que c'est le gynarchisme ?
le gynarchisme c'est l'exercice du pouvoir par les femmes dans tous les domaines (politique, social, familial, juridique...). Les femmes decident de tout pour tout.
Certains diront mais c'est du matriarcart. La difference entre les 2 est que le gynarchisme est politique et affirme la superiorite absolue de la femme sur l'homme.
Le matriarcat n'affirme pas specifiquement la superiorite d'un genre/sexe envers l'autre, il n'a pas de vocation politique bien que dans la pratique les femmes sont decisionnaires sur la famille, le groupe ou une societe.

 

Comment puis-je dire alors que j'ai recu education gynarchiste et pas juste matriarcale ?
Dans le matriarcat seules les femmes decident et choisissent mais ne remettent pas en cause la hierarchie, le genre, ni le code genré. Par exemple, une mere matriarcale dira seule si une fille ou un garcon (a age identique) peut sortir a une fete mais elle autorisera le garcon a sortir et pas la fille ou ni la fille ni le garcon. Une gynarchiste etablira une hierarchie en faveur de la fille qui pourra sortir et pas le garcon quelque soit le contexte.
En faisant la liste de mon education je pense que cela sera plus explicite.

 

1.Mon prenom: Audrey. Je rappelle que c'est mon veritable prenom ecrit sur ma carte d'identité. Il y a un prenom masculin mais secondaire. Je pense que ca n'est pas anodin que ma mere est decidée de cette facon.

2.Il n'y a jamais eu d'homme a la maison. Je n'ai ete elevee que par ma mere. Il y avait bien sur des amis et de la famille avec des hommes qui passaient rendre visite a la maison. Jamais de memoire je ne suis restee seule sans une femme dans la maison.
Il y eu evidemment des hommes que ma mere frequentait mais je ne les voyait jamais rester a la maison, ca etait essentiellement comme chauffeur ou accompagnateur pour les courses que je les voyais.

3.J'ai toujours porte des sous vetements de fille des le debut. Comme je le racontais dans un precedent article, j'ai des souvenirs d'etonnement de maitresse a la maternelle et a l'ecole elementaire quand elle voyait que je portait des collants.
Au college et lycee on me vannait beaucoup sur le fait que je portais des chaussettes de filles. Je portais d'ailleurs plus des tangas vers le lycee quand on devait se changer pour le sport. Sinon j'ai toujours porte des culottes jusque mes 16 ans puis des strings que je trouve plus confortable.
C'est au lycee que je me suis vraiment rendue compte que je portais des pantalons a coupe de fille, des t shirt et pull de filles aussi. Je n'ai jamais porte de jupe au college ni lycee. les manteaux, vestes, chaussures etaient unisexe. Je portais souvent des baskets de garcon pour le sport sinon des sneakers fille que personne ne remarquait en fait.
Ma mere decidait de ce que je portais jusque vers mes 16 ans, je ne decidais pas de mes sous vetement ni du choix des pulls, pantalons jusque la.
Quand on faisait le shopping, ma mere decidait toujours et je ne n'avais le choix que de la couleur en general.

4.Quand on recevait des amis a la maison, je devais toujours etre polie et disponible pour servir un verre, cherchait le cendrier, un set de table etc... Comme ils etaient consideres comme invites, je devais toujours les servir sans qu'ils n'aient besoin de bouger. D'abors les femmes, puis les filles et apres les hommes et garcons.
Je pouvais jouer avec les enfants de mon age quand il y avait les invites mais je devais etre disponible et reactive si on avait besoin de moi.

5. lors des repas, je mettais les couverts, je debarrassais la table, je faisais la vaisselle tout toute seule a la maison jusqu'a ce que j'avais eu mon propre logement.

6.Je faisais toujours la lessive en grande partie toute seule. ma mere ne m'aide qu'a plier (notamment les draps, nappes) et ranger dans l'armoir pour aller plus vite.

7.Je n'ai jamais eu mes papiers pour moi jusqu'a mes 20 ans. Je devais demandais a ma mere ma carte d'identite pour faire quoique se soit d'administratif ou de sortie (ouverture de ligne portable, inscription biliotheque, club de sport, carte de cine, sortie en boite, inscription universitaire...)
J'ai su plus tard qu'elle fouillait regulierement mon sac a dos, les poches, mon bureau. Quand je recevais des lettres administratives, d'emploi, d'amis, elles etaient toujours decachetees avant que je ne les ai en main.

8.Je pouvais recevoir parfois sous certaine condition des copains d'ecole mais interdit d'avoir des petites amies.

9.jusque mes 13 ans a chaque fois que j'allais au toilette (grosse commission), je devais etre nettoyee avec un gant et du savon par ma mere.
Regulierement, elle verifiait que j'etais en bonne sante et propre.
2 fois par an, elle verifiait tout mon corps et examiner mon gland et mes testicules. elle nettoyait systematiquement le gland avec du septivon ou un liquide violet.

10. Je n'avais pas le droit de regarder la tele, elle avait toujours la telecommande en main. Mais ca ne m'empechait pas de la voir en cachette quand au college-lycee je n'avais pas cours.
pas de portable, pas de pc. Je n'ai eu mon portable en cachette a l'universite que quand j'ai commence a travailler regulierement. J'ai commence a travailler a 16 ans avec les job d'ete. Je n'ai pu utilise cet argent pleinement qu'apres mes 20 ans car ma carte bancaire etait detenue par ma mere.
Je n'ai meme pas souvenir d'avoir ouvert mon compte bancaire moi meme. Ma mere l'a ouvert quand j'avais 13 ans. Je versais regulierement de la petite monnaie qu'on m'ofrrait de ci de la (essentiellement anniv et noel). Je l'ai recupere a mes 20 ans quand j'avais decide que je devais detenir par moi meme mes papiers.
Tous mes jobs de 16 a 20 ans n'ont ete qu'a payer le loyer,le telephone,les courses au nom de ma mere. De toute facon je ne voyais jamais cet argent, ca partait direct sur le compte que je ne pouvais consulter.

 

Quand je rencontre ou lis des discussions sur des forums gynarchiste je ne vois que rencoeur et mepris envers les garcons. Je n'ai jamais rencontre de gynarchiste positive socialement.

La seule personne se disant gynarchiste faisant exception est Maitresse Trinity.
Loin des apriori et des cliches betes du gynarchisme (et meme du bdsm), Maitresse Trinity est la seule avec qui cela ete instructif et constructif. Son sadisme je m'en doutais mais j'ai surtout ete surprise de la voir sage, tendre, humaine et femme telle quelle ni plus ni moins, elle meme avant tout.

Par audrey - Publié dans : gynarchie
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Vendredi 1 avril 5 01 /04 /Avr 12:00

http://fc03.deviantart.net/fs71/f/2011/038/d/7/family_wedding_op_by_vive_tu_yaoi-d390yzg.jpgIl m'est souvent arrivé d'être l'objet de fantasme ou d'être la pulsion excitante de quelqu'un, d'inconnu ou de personnes proches.  Quand c'est un inconnu c'est surprenant sur l'instant mais moins troublant que quand c'est un ami ou quelqu'un de la famille. En l'occurence, l'une de ces experiences était avec des amis d'enfance qui faisaient partis de la famille: Adrien et Benjamin. Nos parents se connaissent depuis longtemps, en fait ils se connaissaient avant que moi et les 2 frangins ne soyont nés. C'est donc naturellment que l'on se voyait souvent, qu'on mangeait régulièrement chez l'un et l'autre, que l'on dormait chacun son tour dans la maison de l'autre. J'allais plus souvent dans leur maison qui était plus grande (au moins un 150m²) et où il y avait tout le temps du monde. Ils habitaient à 2 pas de chez moi dans la même rue, j'adorais aller chez eux car c'était tout le temps la fête avec de bons grands repas, plein de monde marrant de la famille et de la musique jusque très tard. On y faisait la fête au moins une fois par semaine quand ça n'était pas 3-4 fois régulièrement dans la semaine, chaque occasion était un prétexte de fête. J'adore cet esprit décontracté et épicurien qui imprègne cette famille là. Les parents (oncle-tantes) ne s'offusquaient pas de nous laisser s'amuser jusque 22h00 ou 01h00 du matin quand on était petit (de toute façon on s'endormait naturellement avant 22h00 avec l'épuisement), je rigolais avec mes cousins et des amis d'amis de la famille. Comme on se connaissait depuis tout petit on se considérait comme cousins, leurs parents d'ailleurs m'appelaient neveu et mes parents étaitent appelés frère et soeur. J'adorais m'amuser chez eux et je les trouvais bien plus agréables que d'autres parents de copines de classe qui sont d'une froideur avec leur conservatisme et arrièrisme. Par exemple, leur anxiété deplacée qu'un enfant doit se coucher à telle heure, ne doit pas dire tel mot, doit parler d'une certaine manière, doit être comme si ou comme ça. Chez eux on était libre d'être nous même c'est à dire des ados qui jouissaient de la vie et non pas comme des petits adultes formatés à des règles du siècle passé comme c'est le cas de nos jours.

couch Avec Adrien et Benjamin qui étaient aussi frères dans une définition classique, on s'amusait donc souvent ensemble: faire du foot, jouer à la console, imaginer qu'on était dans un vaisseau spatial avec pleins d'aventure quand on allait sur les structures de jeux de parc etc... On était vraiment dans l'osmose des jeux ensemble et dès qu'ils proposaient un truc je les suivais en sachant qu'on allait bien rigoler. Un soir de fête, une eniéme fois je dormais chez eux dans le même lit superposé. A cette période dans le lit on se battait , s'attrapait, chatouillait et on se vannait. Ils étaient plus grands, ils avaient juste 1 an de plus que moi si bien qu'ils gagnaient tout le temps à ces jeux. Je savais que j'étais moins fort et je me laissais donc souvent faire naturellement, c'était plus rituel et fraternel que de réels combats. En tout cas, je m'en foutais de savoir si je pouvais les battre ou pas, je les laissais gagner ou prendre le dessus, je trouvais ça plus sympa de voir leur tête réjouie d'avoir réussi après.
Ce soir là, après un temps de pause de récupération avec les prises qu'ils me faisaient, je me rendis compte que j'avais l'épaule et la joue mouillées. Sur le coup, je cherchais la provenance d'une probable bouteille d'eau dans le lit, je ne trouvais pas de bouteille mais une flaque comme si on avait renversé un potage ou de la sauce de pâte. Quand on s'était battu, c'était dans le noir, donc je ne voyais rien de ce qu'on avait pu renversé à ce moment là. Ne souhaitant pas dormir dedans je me suis levée et je suis partie dans la salle de bain pour me nettoyer et voir ce que c'était du coup. Devant la glace, j'étais étonnée car je ne voyais rien, je sentais bien l'humidité mais pas de tache de sauce ou autre. En regardant de plus près je me rendis compte que qu'il y avait comme de l'eau pateuse ou du savon liquide. Je ne comprenais pas pourquoi j'avais du savon liquide sur moi, d'autant que ça ne sentait pas la même chose. J'en avais sur l'épaule et tout le visage gauche, j'en pris un extrait pour sentir et gouter, et ça n'était pas définitivement du savon. C'était trés peu salé et avec un léger goût de riz basmati. Sur le moment je ne savais toujours pas ce que c'était ni d'ou ça venait. Je me nettoyais vite fais et retournais dans la chambre pour nettoyer aussi le matelas.

juice wrestlingJ'allumais cette fois-ci la lumière en disant que j'avais eu un truc bizarre  sur moi, les 2 frangins se moquaient de moi en couinant en guise de réponse. Je commençais à nettoyer la tâche sur le matelas avec des mouchoirs et un gant. Les 2 autres continuaient de rire en ne me disant rien. Une fois fini le nettoyage, je retournais me coucher au lit en éteignant la lumière. Dans le lit, Adrien me demandait si je n'avais rien remarqué quand ils m'immobilisaient tout à l'heure, je répondis que non. Ils couinaient de nouveau. Ensuite, ils me demandaient si ça ne m'était pas déjà arrivé de jouer le soir avec mon sexe. Je ne comprenais pas trop le sujet de la conversation et je lui dis que non. Adrien avoua que depuis quelque temps il jouait souvent avec son sexe et que ca signifiait qu'il était grand contrairement à moi qui était encore un petit joueur. Le fait que je ne mettais jamais masturber les surprenait, ayant l'air de signifier qu'à mon âge c'était anormal de pas savoir ça. Je n'avais pas envie de toute façon de le faire à cet instant même si ça m'intriguait, ne serait ce que de le faire par expérience. J'avais déjà sucé Mario mais je ne m'étais jamais masturber toute seule. Bref, Adrien avoua qu'il s'était branlé tout à l'heure comme il le faisait depuis quelque temps déjà. Le hasard a fait que ce soir là j'étais présent, et ça n'avait pas changé son habitude. Il me disait que j'avais un jolie visage et que sur le coup il avait eu envie de le faire. Benjamin, lui à coté, était en train de le faire durant la discussion. Ne voulant pas me relever pour nettoyer encore une fois, je lui disais de ne pas faire sur le matelas. Il rétorqua par fénéantisme qu'il n'avait pas envie de bouger et qu'il était bien. Je l'incitais à dégager du lit pour le  faire couler hors du matelas mais il ne bougeait pas. Il dit alors en vannant que si je ne voulais pas de tâche,  je n'avais qu'à le boire avant que ça tombe sur le matelas. Pendant 2 secondes, il me pris au défi du regard. Apparrement, il ne céderait pas et allait mouiller le lit, je ne voulais absolument pas dormir dans quelquechose de mouiller. Constatant qu'il continuait en souriant et qu'il ne cédait pas je me suis dit toute façon je l'ai déjà fait, c'est pas si mauvais et de toute façon je sais qu'il ne s'en vantera pas auprès des autres copains. Ca serait trop la honte pour lui de dire qu'il a fait quelqchose avec un garçon. Le prenant donc au défi, je le mis dans ma bouche et je le sucais très fort pour qu'il vienne vite.

suce Je pense qu'il ne s'y attendait pas du tout , je le vis dans son regard et le sentis dans ma bouche. Il était devenu plus dur d'un coup et c 'était difficile de le sucer à la verticale, j'avais dû tourner ma tête pour poser ma joue sur son nombril afin de le sucer dans le bon axe. Il avait le gland fort prés du nombril et j'avais du mal à le mettre droit à la verticale, ça résistait et je me rendis compte il était vraiment musclé. Au bout de 2-3 mn, il bloqua ma tête avec ses mains et releva ses fesses en hurlant presque. Je fus un peu surprise et pu me débrouiller pour ne pas m'étouffer. En bougeant, il avait carrément touché ma glotte, j'ai du avalé précipitamment pour ne pas m'étouffer. Avec Mario, j'avais eu le temps de laisser couler dans la bouche avant d'avaler, là avec Benjamin, ça rentrait direct dans la gorge. Si je n'avalais pas à chaque jet  je m'étouffais. Au premier jet, j'étais en train de respirer et j'ai senti que ça avait grimpé dans mon nez. J'avais sentie chaque palpitation de ses jets entre mes joues. Autant il avait été rapide à venir autant il était long à me relacher ma tête. Même s'il avait fini de jouir, il voulait que je continue à le sucer encore quelque instant alors qu'il n'y avait plus de jus qui sortait. Il bougeait ma tête avec ses 2 mains mais je me suis dégagée en lui disant que c'était fini maintenant. Adrien lui, était interloqué en voyant la scène de fin et ne dit plus rien.
J'étais fatiguée et tout ce que je voulais maintenant c'était dormir :"C'est bon maintenant on peut dormir ?"

Par audrey - Publié dans : sexe
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Mercredi 30 mars 3 30 /03 /Mars 20:16

http://shemalesex-x.com/images/ladyboy-gallerie.jpgVoilà maintenant 2 ans que je n'ai plus peur d'être habillée en fille. J'ai quasi que des vêtements féminins aujourd'hui. Au début pour faire le shopping j'étais coincée et j'avais honte d'être vue. Petit à petit je ne me souciais plus du regard des autres. D'autant que dans les boutiques de vêtements de fille, peu font vraiment attention à moi. Chacune est plutôt concentrée sur la belle chemise ou le pull rare à dénicher. J'ai maintenant mes boutiques régulières où les vendeuses me connaissent et sont sympas. J'achète souvent chez Morgan, Jennyfer, Pimkie par exemple. J'y ai pu faire mes cartes de fidélité avec mon prénom Audrey (qui est vraiment écrit sur ma carte d'identité). Même quand je me fais livrer, c'est avec mon prénom fille et les agents postiers à domicile, comme au bureau de poste, me reconnaissent sans faire de difficulté concernant l'identité. Je sais que particulièrement des transsexuelles ont souvent des problèmes avec ça; je dois avoir de la chance car pour ma part, je n'ai jamais rencontré de souci. Une postière, une fois, m'a même dit de faire attention à moi quant au prénom sur les colis, car si c'était un remplaçant d'été,  je pourrais "tomber sur un con" dixit ses propres mots. Elle m'a dit ça d'une manière gentille et bienveillante que j'ai appréciée.


tito Aujourd'hui, je suis donc complètement habillée en fille autant chez moi que dehors que dans le métro qu'en sortie qu'au travail. Je ne met pas encore de jupe (surtout avec le froid qu'il a fait depuis septembre passé). Mais pour le reste, je porte des strings, des soutiens-gorge, des débardeurs, des pulls de femme, pantalons de femme, veste de femme. Pour les sous-vêtements ça faisait déjà un moment que je les portais sous mes anciens vêtements masculins. Je suis désormais maquillée tous les jours au naturel comme je l'ai décris dans mon ancien article. Je me sens beaucoup plus à l'aise. Je n'ai plus honte d'acheter mes sous-vêtements en boutique et ça m'ôte un certains poids.

Ce qui est étonnant c'est que depuis que je met des soutiens-gorges une partie de mes collègues de travail masculins sont plus gentils avec moi. J'ai noté qu'ils semblaient plus attentionés, plus souriants, moins vachards avec moi. Autrefois, j'étais pas transparent mais limite ils se foutaient de savoir comment j'étais habillée et ne me parlaient pas doucement comme actuellement. Certains continuent à s'en foutre comme si c'était pareil qu'avant. D'autres, me disent vite fait bonjour en s'esquivant apeurer, ce que je trouve très drôle. Le plus agréable est que les filles maintenant me parlent toutes plus spontanément dès qu'elles me voient. J'ai de la chance car avec la grande majorité, on a de vrais sujets de conversations intéréssantes ce qui fait qu'on piple pas mal sans s'ennuyer. Les sujets de circulations du matin pour arriver au boulot et les resultats du foot avec les transferts sont pour moi d'un ennui profond avec les mecs. Avec les filles du boulot on parle recettes de cuisine, d'expos, de nos sorties, concerts, les enfants, les films etc...

 http://fhg.areeyasworld.com/aw/fhg/052_Office_Girl_dzpco/003.jpgCe qui m'a le plus agréablement surpris c'est que même les chefs de services de l'entreprise me saluent normalement et cordialement le matin. En entretien avec un de mes boss, la relation professionelle est restée la même, mon aspect physique n'influe pas sur les sujets des travaux. Ils continuent à reconnaitre mon travail sans dépréciation. Ma supérieure hiérarchique directe, elle par contre ça a influé. Elle est beaucoup plus protectrice et elle laisse passer beaucoup de choses là où parfois la demande d'exigence, de précision ou de marge d'erreurs aurait été plus appuyée pour un mec. Il est clair que ma chef n'est pas du tout équitable la dessus. Dans l'équipe, on remarque bien que les aspects techniques sont plus demandés aux garcons, les semaines de formations techniques sont plus longues pour les filles que pour les mecs. Je ne sais pas si dans la boite où je suis actuellement cette relation avec mon aspect physique. est exceptionnelle ou pas. Je sais que des trans ont d'énormes difficultés avec leurs supérieurs sur la norme genrée auquelle ils ou elles doivent  se soumettre. Ne connaissant pas la proportion réelle, je n'ai aucune idée  si c'est exceptionnelle, courant ou pas.

http://elleaimelecinema.fr/wp-content/uploads/2008/05/shane.jpgEn tout cas parmi les nouvelles bonnes choses, j'ai remarqué que les filles s'habillent mieux depuis que je suis complètement en fille. J'ai constaté une hausse du niveau de style de chacune. Il y a même une qui me copie particulierement . J'ai un look rock, punk classe , comme Tokio Hotel ou Shane de L World. Par exemple, je met du vernis à ongle noir et rouge (que parfois j'applique au bureau même) et bien ma collègue Anna en met depuis. De même, je porte régulièrement une chaîne à la taille sur mon jean noir déchiré, depuis Anna en porte une aussi mais autour du cou. Autre exemple, je porte des bottines punk avec des clous, Anna qui ne portait jamais de bottes s'en ait acheté une paire. Ca ne me dérange pas trop pour l'instant car elle ne s'habille pas complètement pareil que moi, mais elle me ressemble de plus en plus au fil du temps. Heuresement, je m'entend bien avec elle, elle est drôle et sympa avec moi. Dans les similitudes, une autre qui ne se maquillait pas commence à le faire. C'est d'autant plus flagrant que je met du rose/violet en fard à paupière et qu'un jour elle est venue au boulot avec les mêmes couleurs. 2 autres collègues qui se maquillaient légèrement font un maquillage des yeux plus sophistiqué comme dans les magazines people, si bien qu'un jour, l'une d'elle me proposait d'essayer sa trousse de maquillage. J'ai trouvé ça sympa car depuis on parle souvent maquillage et le matin il arrive souvent qu'on se maquille ensemble.

Plus le temps passe, plus je me rejouis d'avoir passé le cap. Dans le métro, pas mal de cailleras ou de zonard bloquent en me voyant avec des yeux ronds sans rien dire. Heuresement, je n'ai pas reçu d'insultes ni d'approches agressives de la part des mecs pour l'instant. Par contre, coté filles cailleras, beaucoup me regardent d'un air dédaigneux et hautain. A l'inverse, je reçois beaucoup plus de sourire de filles normales tous les jours. J'aime bien ce sourire de bonjour d'inconnues que je croise dans le métro, avec parfois une sorte de regard complice. La dernière fois, sans un mot il y en a une qui m'a carrément fait un pouce de super en me voyant.

Par audrey - Publié dans : tgirl - Communauté : lovetrans
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Dimanche 7 mars 7 07 /03 /Mars 16:11
VENTRE2Assez tôt, j'ai essayé de découvrir le plaisir d'être bien remplie par quelque chose de consistant. Etant petite, j'avais commencé par des stylos comme pas mal de personne je pense; puis sentant le flottement, on veut essayer plus gros pour plus de sensation. A mes 12 ans, je voulais savoir ce que ca faisait d'être remplie par la petite rosette, pour le savoir, j'avais pris ma raquette de badmington pour tenter l'aventure.
Au début avec les stylos c'est facile, ca glisse tout seul et il n'y a pas besoin d'effort pour faire rentrer, on sent tout de suite les joies de la glisse avec la lubrification naturelle. Là, avec le manche de ma raquette de badmington ça commençait à distendre un peu plus les parois. Cependant, ça restait encore aisé car j'avais laissé le plastique d'emballage autour du manche, ce qui permettait une glissade joyeuse et plutot facile. La différence avec le stylo était plus au niveau de la grosseur que de la glisse. Je m'amusais ainsi à coulisser lentement en va et viens. Je me souviens que c'était fort agréable.C'est comme ça que curieusement on découvre que l'on peut jouir aussi bien avec une stimulation sur la prostate. Pour ma part je pense qu'hormis mes pollutions  nocturnes sans me toucher, ma première jouissance a été de ce coté. Le rythme appuyé sur ce point, m'a fourni mes premiers orgasmes étant petite. Plus tard en frôlant le bout du gland sur les draps par inadvertance, je découvrais une autre manière de prendre du plaisir aussi.

DOS Quelque mois plus tard en grandissant, la raquette de badmington commençait à flotter un peu plus elle aussi, du coup, je passais à la taille au dessus c'est à dire au manche de la raquette de tennis. J'ai fais du tennis de mes 11 ans à mes 14 ans, j'ai toujours adoré le sport. Là avec une raquette de tennis ce fut plus rude à passer. Déjà à la pointe du manche c'est plus octogonale et moins ovoide pour pénétrer. C'est à ce moment là qu'on se dit que ce qui se tient dans une main comme une raquette de tennis est vraiment énorme mine de rien. C'est aussi à ce moment là que l'on pense que ça serait bien d'aider la glissade avec du lubrifiant.  Comme tous les novices qui s'insèrent des choses au début en étant petit, on commence avec de l'huile. L'huile c'est bien car c'est parfumé, pour ma part c'était l'huile d'olive, ça me faisait penser en plus au littoral sud, vers la Mediterranée. Là ou quand on se ballade ça sent l'herbe de provence qui pousse par terre et aux champs d'olivier à perte de vue et à bout de nez. L'huile ca chauffe, ça détend bien et quand on regarde sa peau ça brille. On trouve ca génial tout de suite (sauf qu'après il y a les traces d'huile sur tous les draps qui ne partent pas).
 Bref tranquillement lotie dans ma chambre ensoleillée un apres midi de week end, armée de ma raquette de tennis dans une main et un bouteille d'huile d'olive dans l'autre, j'entamais pour ma part le premier dépucelage de ma rosette. Oui car jusque là, je ne m'étais jamais sentie aussi distendue. Je ne sais plus combien de temps ça avait pris mais c'était long. Avec es tylos, ca glisse rapide et on fait des va et viens rapide amusant. Avec le calibre du manche de ma raqsuette de tennis, c'est lent à rentrer et une fois que c'est dedans les va et viens je ne les faisais pas beaucoup. Je m'amusais plutôt à marcher avec le manche pour voir ce que cela faisait. Une fois fait on est content de sa prouesse et on se sent vraiment comme si on était bien prise à fond. Le fait que cela soit plus serré renforce les sensation internes quand les contractions de jouissance se produise. Il paraitrait que c'est la où se trouve le point G des garcons.

VENTREPlus tard, quand on regarde les films x et que naïvement on croit tout ce qu'on voit dessus, on se dit que
 la prise de rosette est vraiment facile. Dans les films on voit le mec qui enfile ça rapidement en 2-3 mouvements avec une glissade facile. La nana ne ressentant en apparence aucune douleur à la pénetration quasi à sec. En vrai c'est tout autre chose.
Primo déjà tu ne t'enfiles pas ça en 10 sec même si tu es bien excitée car ta souplesse anale n'est pas celle d'une pro du cinema. En fait (c'est ce que font les actrices en vrai), tu es obligée de te préparer la dilatation 30mn ou 1h à l'avance, avec quelque chose à l'intérieur afin de t'assouplir petit à petit les parois. C'est de cette manière que l'on s'accoutume bien avant de recevoir. C'est comme le sport il faut s'assouplir avant de pratiquer pour éviter des claquages.
Deuxio, le plaisir est meilleur quand c'est clean. Les actrices avant de tourner se font des lavements avec des petites poires manuelles. Avant une rencontre, c'est ce que je fais désormais , l'enduit de lubrifiant après ou durant les glissades en sont d'autaunt plus fun. Plonger dedans sans péparation et sans taches: c'est du cinéma.
Tertio, les calibres des films X: ça n'est qu'au cinéma, donc intuile de paniquer sur le fait que ça rentre ou pas. Dans la vraie vie , on rencontre des tailles d'homme et pas de sexes de mâle élévés aux OGM.
Quarto, dans la vraie vie, les mecs durent moins longtemps que dans un film, et c'est peut être mieux finalement car 2h au même endroit sans s'arrêter c'est casse-cul à la fin.

Par audrey - Publié dans : sexe - Communauté : écriture libertine
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Dimanche 14 février 7 14 /02 /Fév 10:23
En terme de maquillage j'aime le teint naturel et par conséquent sans une tonne de maquillage comme un clown. Je déteste les travs qui se peinturlurent comme un mur de banlieue plein de tag fluo et sentant la pisse, c'est véritablement affreux cette majorité de trav qui se croient en plus féminin alors qu'ils n'apparaissent que comme des monstres.
assise.jpgSi bien que dans l'idéal j'aimerais bien sortir sans maquillage et que les passants me prennent pour une fille au premier regard sur mon visage, comme ce fut le cas quand j'étais plus petite. C'est pourquoi pour accentuer mes traits féminins je dois me maquiller légèrement pour sortir. Heuresement on me dit que j'ai un jolie visage et en plus avec mon aspect asiatique cela est plus facile. Je suis allée,  pour me donner une idée, à Nocibé, Sephora, Marionnaud pour savoir quoi prendre comme maquillage et 2, 3 vendeuses m 'ont maquillé légérement révelant le fait qu'il ne fallait finalement peu pour dévoilant mon faciès féminin. En effet juste une poudre libre appliquée en petite quantité sur mon visage est largement suffisant.
En passant les pseudos conseillères de vente de Sephora sont lamerntables, en repassant plusieurs à Sephora, chacune m'a dit tout et son contraire, en me conseillant à chaque fois un produit différent. La plus drôle est celle qui m'a répondu qu'il n'existait qu'une seule marque de poudre libre minéral (baremineral) ce qui est absolument faux, bref elle ne savait pas de quoi elle parlait et donc elle ne savait pas ce qu' elle vendait.
Au final juste une poudre, un gloss à lèvre et un smokey eyes suffisaient pour sortir, je ne met pas toutes ces couches de fond de teint que je trouve étouffant en plus de faire paraître faux.

nounoursLa première fois que je suis sortie maquillée je redoutais de ne pas paraître assez féminin et d'être ridicule. La sentence ultime fut d'aller prendre le métro, et là, personne ne me dévisagea ni nota que je fusse peut être un mec. J'étais super contente, je paraissais normal et me fondait dans le public comme une fille. J'avais  des bottes noir, un pantalon noir satiné et un sweat noir dans le style glam-emo androgyne. A part 2-3 vieux arabes qui semblaient interloqués ou choqués par ma beauté, tout se déroula normalement. Le genre de vieux qui se la jouent bien propre sur eux en bons musulmans mais qui ont un esprit complètement tordu, avec leur regard mi choqué-mi pervers sardonique aux yeux grands écarquillés. Je redoutais aussi les cailleras ouaich qui pouvaient m'accoster durement et vulgairement. De ce coté la aussi tout se passa sans encombre. Le fait qu'il ne me vannaient pas confirmer que j'avais bien ajusté mon maquillage.
La journée se déroula merveilleusement bien avec pleins de regards de mecs me dévisageant subrepticement l'air éthéré quelque seconde. Et aussi des regards de femmes ou de filles charmés, complices, presque admiratifs de joliesse en tombant sur mon look.

Ce qui m'a le plus plu dans cette journée fut qu'en faisant du shopping à Jennyfer (c'était les soldes), une fille en faisant la queue à la caisse parlait de moi en commentant la lingerie plutôt jolie que j'achetais, et sa copine fit remarquer que j'étais peut être un mec. Celle-ci surprise répondit: ah bon! t'es sûr?
Par audrey - Publié dans : tgirl - Communauté : écriture libertine
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