Mercredi 6 mai 3 06 /05 /Mai 17:01
J'ai ajouté des photos de moi dispo sur cette page dédiée:
Photo de mon corps
Par audrey - Publié dans : sexe - Communauté : écriture libertine
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Mardi 5 mai 2 05 /05 /Mai 14:28
La première fois c'était avec un copain d'enfance d'origine italienne:Mario. On se connaissait depuis l'école primaire et on habitait dans le même quartier. On s'amusait beaucoup ensemble à la récré, en classe et après l'école quand j'allais chez lui ou quand il venait chez moi. Nos rapports étaient très copains et enfantins. C'était vraiment de la déconnade d'enfants, on avait 10-12 ans à l'époque. On a plusieurs fois mis en colère nos parents avec nos bêtises. On faisait des expériences chimiques parfois dans l'atelier de son père, si bien qu'on avait failli mettre le feu à la maison. Un petit feu avait pris avec les briquettes bleu-verte pour allumer les cheminées. On avait allumé une pour voir ce que ca faisait et on l'avait posé sur une planche, ça a pris très vite mais heuresement on a réussi à l'éteindre tout seul. Le problème c'est que
1.on avait pas le droit d'être dans l'atelier
2.il y avait de grandes traces de flammes noires
3. on avait abimé la planche de travail
4. ca sentait fort le brulé dans la pièce
Naïvement on avait mis des feuilles mortes par dessus pour cacher tout ça, évidemment son père a hurlé le soir même en décovrant ça, attiré par l'odeur de brulé. On s'était fait salement grondé tous les 2, et moi une deuxième fois en décalage quand ma mère l'a appris en rentrant de week end. J'étais en week end chez mon copain à ce moment là.

Un autre soir où cette fois Mario dormait chez moi, on était tout seul dans la chambre, ma mère dormait à coté dans une autre pièce. Le soir était tombé , on devait dormir. On était dans un lit superposé, j'étais en haut et lui en bas. On avait bien joué dans la journée et moi j'étais prêt à m'endormir. Mario lui ne l'était pas et on discutait comme  ça allongés chacun dans son matelas.
Au bout d'un moment dans la conversation, j'entend des petits "floc", je me demandais qu'est ce que c'était ce bruit. En tendant l'oreille je me rend compte que ça vient d'en bas et je constate que c'était lui qui jouait avec son zizi. On avait jamais fait des conneries ou des jeux sexuels. Décontracté, il voit m'a tête et continue comme si c'était normal. J'étais un peu surpris et il me demandait si je me masturbait aussi de temps en temps. Je ne me masturbais pas régulièrement à cet age là. Lui disait qu'il avait découvert ça pas longtemps, que c'était génial, et que depuis il le faisait regulièrement dans la semaine.

Je me souviens la première fois que j'ai éjaculé je ne me rendais pas compte de ce que c'était. Je me souviens qu'en effleurant mon sexe ça faisait une bonne sensation et en continuant  j'avais trouvé du plaisir avec le liquide qui sort à la fin. C'est surtout le liquide qui me surprit, je ne savais pas que je pouvais faire du lait translucide. Je le découvrais à mes 11 ans et par la suite je comprenais pourquoi j'avais la zigounette engluée au matin quand je me réveillais plus tard.

A part ma découverte à 11 ans, je n'avais pas de pratique masturbatoire régulière, je ne savais pas ce que c'était et la finalité reproductrice non plus. Mario lui savait déjà se branler. Apprenant que je ne masturbais pas comme lui fréquemment,  il m'invita à jouer avec lui en se touchant la quequette. Au début, je l'imitais ne connaissant rien de la chose. On se branlait en même temps, je ne trouvais pas ça désagréable bien que bizarre comme moment. Au bout d'un moment, il demande de se comparer les sexes. Nos 2 sexes collés au ventre, je découvrait que c'était dur de la faire baisser, on s'amuser à tirer vers le bas puis relacher pour faire rebondir sur le ventre comme un élastique. On découvrait combien nos sexes étaient bizarrement solides. On se tapotait découvrant la dureté et la sensation. La mienne était noire et large et la sienne était blanche plus longue, fine et dure. Sur le coup je trouvait ça amusant mais pas excitant, pour moi on s'amusait comme si on faisait les cons. Lui par contre était plus dure et semblait prendre un certain plaisir luubrique.



Pour s'amuser à 2 j'étais descendu du lit pour être dans le sien, il me demanda de coller le bout du gland sur le sien, il s'amusait à comparer en toucher le mien. Puis il me demandait de donner un bisou sur ses boules. M'executant, c'était la première fois que je sentais l'odeur du sexe. Il y avait cette petite odeur savonée mélée de musc et aussi son anus (qui ne sentait pas mauvais, c'était propre, mais l'odeur de l'anus excité). Je trouvais ca drôle, il continua à me demander de l'embrasser les boules, il avait l'air d'adorer. Puis il continua à me demander d'embrasser son zizi puis le bout. Comme c'était un bon copain ça ne me génait pas de le faire, je trouvais ça marrant et excitant en même temps. Je ne bandais pas aussi dur que lui mais ça ne me déplaisais pas. Dans la continuité, il me demanda de gouter et de lui dire quel gout ça avait. Je m'executais et je lui repondis que c'était pas mauvais. Je m'attendais à un gout de pipi et je le redoutais fort mais au final pas du tout, ça avait le gout du parfum du savon à la vanille. La première fois je l'avais mis dans la bouche non décaloté, c'était doux au palais. Comme j'avais répondu que ça goutait bon, il me demanda de têter le bout comme un bonbon. Je su plus tard ce qu'il voulait de moi et qu'il l'avait un peu calculé. Je m'éxécutais , je décalottais son gland et je le suçotais. Je trouvais ça encore plus doux et un gout meilleur. Il y avait du liquide qui luisait sur son gland quand je l'avais sucoté. Petit à petit je le sucais tout entier. Il me dirigea par la tête pour indiquer le mouvement. Je le suçais comme un bonbon pendant un moment jusqu'à ce que je sente un truc plus chaud avec un goût légerement amer. J'avais eu peur que ce soit du pipi mais je voyais que c'était comme du lait concentré. Son zizi était dur comme un carambar et il tressautait enormément. Mario me disait de lécher afin d'éviter de tacher le lit pour pas se faire gronder. Donc du coup, j'aspirais et j'avalais son gland pendant qu'il jouissait dans ma bouche. Je continuais à le sucer jusqu'à ce qu'il redevienne tout mou.
Il m'a demandé si c'tait bien comme jeu, je lui répondu que oui c'était rigolo et cool. J'avais bien adoré avaler  sans savoir que c'était du speme. Il remonta la couette et me dit que je pouvais finir tout seul si je le voulais. Il me montra commen me branler avec sa main sur mon sexe. Je n'etais pas excité mais je trouvais ça rigolo.
je ne ressentais pas le besoin de me masturber ce soir la. Je suis remonté dans mon lit en pensant que c'était marrant de se faire tenir la tête avec le gout de Mario dans la bouche.
Depuis je révais souvent de me faire prendre la tête de nouveau.
Par audrey - Publié dans : sexe - Communauté : gay party
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Mardi 5 mai 2 05 /05 /Mai 10:34

Enfant, je me souviens que ma mère m'a toujours surveillée ou en tout cas elle était toujours à controler ce que je faisais. Notamment pour les vêtements c'est elle qui choisissait et m'ordonnait de les mettre, je ne faisais pas attention au style, je mettais les vêtements du moment que ça tenait chaud ou que c'était beau. Ma notion de vêtement féminin ou masculin n'existait pas.

 

Je comprends mieux aujourd'hui le regard de la maitresse qui nous gardait à la maternelle quant elle nous changeait pour la sieste ou la salle de jeu. On se déchaussait et on mettait une sorte de pyjama dans mes souvenirs afin de faire des activités comme se maquiller, de la gym, jouer à tiller etc... tout ca sur un sorte de tatami. Les maitresses avaient un regard surpris au début quand elle m'aidait à me changer et  je comprend aujourd'hui que c'était à cause des collants que je portais. Je portais tout le temps des collants, je ne sais pas pourquoi. J'avais des pantalons ou des salopettes et dessous des collants. J'ai du porter aussi des jupes car je me souviens toujours des regards des autres parents étonnés au début sur moi quand on arrivait à l'école. Souvent même dans la rue, je me souviens très bien que l'on me prenait pour une fille. Je me rappelle très bien d'une personne agée une fois qui s'etait arrétée devant moi en s'exclamant « ah quelle jolie petite fille! », je répondais naivement non je suis un garcon, et la mémé souriait en m'offrant une sucrerie. Cela m'arrivait souvent que des mamies s'arretaient pour me féliciter ou pour se réjouir de voir une enfant comme moi, ça les émerveiller à chaque fois.

Tous ces regards bizarres sur moi, ces sourires, je comprends maintenant ce que ca voulait dire, je ne comprenais pas pourquoi on me regardait avant. Les filles ou les grandes personnes femme avaient toujours ce sourire particulier. Comme un regard de compliicité ou d'attendrissement. Les garcons eux avaient plutôt un regard de surpris en comparaison. D'ailleurs jusqu'à maintenant j'ai pu constaté que les filles étaient plus tolerantes face au garcons de ce coté là. Les garcons regardent en bloquant avec la bouche bée. Une fois dans le métro, à l'époque j'allais au lycée, un mec commencait à m'aborder et à me draguer avant de constater que j'étais un mec, de honte il s'était vite éclipser au prochain arrêt.

J'avais les cheveux qui tombaient jusqu'aux épaules à ce moment là, j'ai de long cheveux noirs comme les tahitiennes, on m' toujours dit que j'avais de beaux cheveux. Par la suite, je les ai raccourci. Ma coiffeuse aujourd'hui a ce même sourire quand elle me fait une coupe au carré. Je m'entend très bien avec ma coiffeuse qui me fait des coupes féminines sympa. C'est souvent elle qui me propose des coupes féminines, elle m'aide un peu par ce biais à me décomplexer. Même quand je fais du shopping dans des boutiques pour femme (en tenue masculine), je suis toujours bien accueillie sans complexe. Les vendeuses n'hésitent pas à me proposer des styles de vêtement ou de me proposer de les essayer en cabine. Ca se passe toujours bien en magasin de vêtements avec les femmes. Elles sont beaucoup plus tolérantes et complices la dessus. Les seules qui ont des attitudes plus réticentes sont celles venant des cités ou plus précisement d'apprence maghrebines ou arabes. Ca m'a surpris d'ailleurs car en mec  j'ai reçu plus d'attitudes racistes de la part de personnes blanches. Les vendeuses black elle s'en foutent et sont indifférentes. Les femmes black plus agées  (45-60 ans) sont plus tolérantes. Quand je vais dans une boutique de cosmétique afro , les mama sont plus sympas, joviales et complices, sachant très bien que quand je demande des produits c'est pour moi, surement à cause de l'expérience. Elles ont l'habitude de voir des garcons demander des produits de femmes, elles ne sont pas choquées ni hostiles mais bien avenantes.

Sans le savoir je me rend à quel point je portais vraiment des vêtements de fille étant enfant et par le temps m'habiller en fille devint une nécessité pour me sentir à l'aise. Chez moi je suis toujours habillée en fille. Je n'aime pas le style travelo vulgo ni la tenue vieille mémé, je m'habille toujours moderne avec des jupes au dessus du genoux et des t shirts mode, j'achète régulièrement chez pimkie, jennyfer ce genre là.

 

 


 


Par audrey - Publié dans : education - Communauté : écriture libertine
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Lundi 13 avril 1 13 /04 /Avr 10:22
Je m'appelle audrey j'ai 22 ans  j'ai decidé de commencer à écrire mes confessions personnelles sur ce que je suis devenue. tout ce que vous lirez seront ma veritable histoire, ce ne seront pas des histoires inventées. Me rendant compte que j'ai reçu une education très particulière étant enfant qui me hante, j'ai décidé de les sortir par l'écrit pour m'en libérer.

audrey est mon vrai prénom d'état civil choisi par ma mère à la naissance bien que je sois un garcon. J'ai été élevée seule par ma mère de manière particulière et je ne m'en rend compte réellement que maintenant. Etant enfant, mon prénom ne posait pas trop de problème , entre petit on n'a pas trop encore conscience des notions de difference, de normalité etc... on m'appelait audrey et c'etait normal et je trouvais ça aussi normal, cela n'etait pas plus extraordinaire que de s'appeler faouuzi, fetnat, aymé, rose, gromarik etc... Jusqu'au college cela était indifferent à part bien sur les surnom ou jeu de mot iinnocent et infantile.
Ce n'est que vers le collège où le contenu de mon prenom commencait à porter un sens d'anormalité avec des questions plus fréquentes de : "mais c'est un prénom de fille, tu es une fille". Physiquuement j'étais plutot androgyne. On me prenait souvent pour une fille dans la rue à la grande fierté de ma mère d'ailleurs en y repensant. Enfant on ne choisit pas ses vêtements donc c'était ma mère qui choisissait mon apparence. Je me souviens être allée rarement chez le coiffeur et j'avais donc des cheveux longs, je portais des collants sous mon pantalon pour avoir chaud, je mettais des chaussetes de fille, des t shirt de fille etc...à part les chaussures qui étaient des baskets, les pulls et veste le reste étaient des vetements de fille. Même mes pantalons, je me souviens, avaient une coupe de fille. Je ne me rendais pas compte que je portais des vêtements de fille, pour moi insouciant je portais juste les vêtements que me préparait ma mère le matin avant de partir à l'école.

Si bien que m'appelant audrey avec mon look feminin, on me prenait plus pour une fille à l'école, c'est au collège que je commencait réellement à entendre des railleries avec des " la gonzesse, la fifille," voire "la tapette" de la part des copains de classe. Cela n'était pas si méchant que ça ,surement du fait de mon look des iles. Ma mère est des seychelles et mon père que je n'est pas connu est tahitien. J'ai eu plus de méchanceté liée à mon teint de peau mate qu'à mon look de fille dans toute ma vie. Je m'entendais aussi bien avec les garcons qu'avec les filles. Le sport, la course, les jeu de chat perché,  les grosses rigolades que j'adorais faire avec les garcons et les discussions generales,les discussion sur les vetements, la beauté, les relations de x avec y, les dernieres aventures d'un tel avec les filles. J'avais plus un rapport de confident avec les filles, mes copines adoraient se soulager en me racontant leurs tracas ou ce qu'elles pensaient, parler de leurs émotions. Je n'ai jamais vraiment su pourquoi elles étaient plus confiante à me dire des trucs qu'à d'autre. On m'a souvent dit que j'étais trop gentli, peut être est-ce à cause de ça.

C'est donc à partir du collège en allant à la maison des copains et copines que je me suis rendu compte que c'était très différent à la maison. Mes copains garçons avaient plus de liberté et de considération par rapport à chez moi. A la maison je devais tout le temps rendre compte à ma mère de ce que je faisais, ou j'étais allée. En plus, ils étaient plus roi chez eux tandis que moi je devais mettre la table, faire la vaisselle, aider ma mère à faire le ménage, les courses, la lessive. Je faisais toutes les corvées nécéssaires avec ma mère quand je ne le faisais pas tout seul.
C'est à partir de cette période que je me suis rendue  compte de mon éducation spéciale.



Par audrey - Publié dans : education - Communauté : écriture libertine
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