Vendredi 8 mai 5 08 /05 /Mai 17:04
le booty danece ou booty shaking dance ou la danse du ventre en vogue depuis les années 2000 en occident. C'est en fait un vieille danse culturelle et ancestrale dans les pays du sud. Aux USA elle déferle depuis quelque temps notamment par la proximité de l'amerique du sud où les créoles des Caraibes ou metis du Brésil le pratiquent depuis longtemps. En orient, les femmes arabes  le pratiquent avec un foulard sur les fesses ou jouent de leur ventre plutôt que de leurs fesses. Les créoles américains l'héritent des africains qui le dansent à chaque fête, elle y est plus bestiale et plus spectaculaire du fait de la rapidité et de la souplesse des fesses développées. Le but est de faire bouger indépendamment le ventre ou les fesses du reste du corps par des ondulations félines.
Sur cette vidéo on peut voir une latino américaine danser le booty dance sous les yeux du joyeux boutchou en bas à droite.

Par audrey - Publié dans : plaisir
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Vendredi 8 mai 5 08 /05 /Mai 11:08
Mon éducation fut rigoureuse. Je devais m'appliquer à tout bien faire, surtout sur ce qu'elle m'apprenait (la lessive, le nettoyage, la cuisne entre autres)
J'adorais faire la cuisine, on faisait des gâteaux, j'adorais faire toute les étapes moi même. Ma mère supervisait. J'adorais ça car la récompense était de manger le bon gâteau que j'avais fait. J'adore manger donc j'adore faire la cuisine. C'est toujours vrai aujourd'hui. Depuis toute petite je fais la cuisine. J'épluche, je découpe les légumes, je les prépare en marinant dans l'eau, je prépare la viande, je surveille la cuisson, l'assaisonnement etc... Je faisais tout, ma mère se contentait de regarder et de vérifier si ça allait à sa convenance. Je faisais la cuisine jusqu'au bout.
Je devais préparer la table, mettre le set de table, mettre les couverts et assiettes pour nous deux, mais aussi bien pour des personnes dinant à la maison. Je me souviens que des amis proches considérés comme la famille se sentaient génés parfois quand je servais. Je pouvais remarquer notamment un oncle qui se contenait de la gêne que cela produisait quand je servais tout le monde.  En fait il n'y avait que les femmes qui servaient à ce moment là et je constate avec le recul que j'étais le seul garçon à faire ça. Quand on mangeait chez eux seul les femmes préparaient et cuisinaient, les hommes attendaient en buvant l'apéro, les enfants jouaient. Je ne faisais aps la cuisine chez eux car on était considérés comme invitées. Quand on recevait des invités ça me génait aussi de sentir cette tension ou plutôt ces regards fuyant ou ces silences quand je posait la table. Personne n'osait rien dire. Je n'osais pas moi même ne pas le faire car je redoutais les réprimandes après le départ des convives. Déjà durant le service, quand je le faisais mal, j'avais le regard dur et froncé de ma mère sur moi, parfois discrètement elle me pinçait pour signifier son mécontentement. Il fallait toujours que je fasse bien les choses.

  Cette exigence et fermeté fut toujours présente. Pour mes notes, ça n'était jamais parfait, il fallait toujours que je fasse plus, ça restait toujours insuffisant à ses yeux. Et ce malgrès que j'avais de bonnes notes, à l'école primaire et au collège j'étais 2ème de la classe, au pire j'ai été 3ème bien que vers le lycée je déclinais. Je me rendais compte que de toute façon ça ne sera jamais parfait à terme, c'était sans fin et inacessible d'être bien. C'était à un paroxysme tel que même quand j'avais 20/20, elle me rétorquait avec un visage froid que c'était pas mal mais qu'il fallait faire encore mieux, le tout avec une mine désintéréssée et dédaigneuse. Tous les jours j'avais des remarques sur ce qui n'allait pas, des hurlements quotidiens sur ce qui n'allait pas aussi bien de ma faute que sur son humeur du jour. Si quelque chose n'allait pas au travail, si elle était simplement contrariée par n'importe quoi, elle se défoulait sur moi. Pour moi ça paraissait normal, je devais la soutenir j'étais son enfant, je devais faire en sorte qu'elle soit bien. Des heures à l'entendre hurler. Je vivais dans un appartement hlm, quand je sortais, je sentais les chuchotements des voisins et toujours ces regards sur moi.

La seule personne parmis les voisins avec qui je ne sentais pas cette lourdeur et avec qui je me sentais à l'aise était la folle. On la surnommait la folle dans le quartier, c'était ma voisine de palier. C'était une polonaise qui avait connu la 2eme guerre mondiale apparrement. Une tutrice venait régulèrement la voir dans le mois. Elle parlait toute seule, elle faisait toute une scène dans la rue comme si on regardait une scène de théàtre. C'était marrant à voir, elle parlait à des personnes que l'on ne voyait pas, elle agissait comme si elle était vraiment dans là pièce qu'elle imaginait alors q'elle était dans la rue. C'était souvent des scènes de travail, d'atelier ouvrier et elle sortait tout le temps des insultes sur ces personnages que l'on ne voyait pas, comme si elle se défendait de ces personnes. Parfois aussi c'était des insultes contre les voisins qui lui faisaient des crasses de manière mesquine.
La seule personne avec qui j'étais à l'aise parmis les voisins c'était elle. Quand elle me croisait ou me voyait elle arrêtait de parler toute seule ou arrêtait ses scènes, elle me regardait sans un mot, un regard normal, presque d'amitié, en tout cas de bienveillance. Un silence serein et doux. Habituellement avec les autres voisins elle faisait tout le temps des simagrées, elle singeait les gens, elle se moquait d'eux, elle les fustigeait mais quand je passais, elle se calmait et ne disait mot. Elle me tenait la porte d'entrée de l'immeuble, je passais timidement.
Par audrey - Publié dans : education - Communauté : DOMINATRIX
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Vendredi 8 mai 5 08 /05 /Mai 10:20
Voila une anim Sukisyo bien sympa à la fois tendre et marrante sur fond d'intrigue. On s'amuse beaucoup à la regarder, il y a de bons moments de tendresse et d'émotions calines, l'intrigue un peu policère sur la nature de la personnalité de Sora donne un suspense et un fil conducteur prenant. Comme la majorité des anim japonaises c'est toujours beau à regarder car joliment dessiné. Et on rit et sourit tout le long des épisodes.

Sukisyo:
Sora voit la venue de Sunao dans sa chambre étudiante un soir, Sunao l'interpelle dans son lit en l'appelant Yoru. Sora découvre vite que Sunao et lui se connaitraient depuis longtemps mais Sora n'arrive pas à se souvenir de Sunao. De plus tout le monde semble le connaitre differemment à l'école. Sans compter que tout le monde se comporte de manière étrange. Quel secret Sora ignore t il de lui même ?, qui est Sunao réllement? Pourquoi tout le monde semble se comporter de manière étrange dans cette école?

Sukisyo premier épisode de la saison 01 vostfr
Par audrey - Publié dans : plaisir - Communauté : Espace Gay Sexe
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Jeudi 7 mai 4 07 /05 /Mai 18:03
une petite vidéo détente, c'est vieux mais j'adore toujours cette vidéo amusante.

Daft Body - Harder, Better, Faster, Stronger
Par audrey - Publié dans : plaisir
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Jeudi 7 mai 4 07 /05 /Mai 02:10
J'ai toujours fait les taches ménagères depuis toute petite: vaisselle, lessive. Par contre niveau rangement, j'ai toujours été bordelique, en tout cas tout ce qui n'est pas vêtements. Je retrouve toujours facilement un cd, un papier, une cle usb etc...
Je me souviens que j'adorais tellement faire la vaisselle que ma mère m'en empechait à la fin. Pour moi ça a toujours été comme un jeu d'eau, je restais des heures à plonger mes mains dans le bassin d'eau chaude pour nettoyer les assiettes, couverts et plats. En plus avec le savon, c'est très doux au toucher quand on effleure les assiettes. Le fait de nettoyer avec la main ou avec une éponge une assiete douce et chaude qui brille un peu plus à chaque passage, je trouvais ça magnifique. Le problème c'est que ça m'amusait tellement que ça prenait des heures. A la fin ma mère m'empêcha nette de faire la vaisselle, c'était trop long. Je l'aidais juste à essuyer rapidement et ranger mais je ne le faisais plus toute seule. J'avais un tablier que j'adorais porter pour nettoyer toute la vaisselle, je restais tellement longtemps dans l'eau que mes doigts se creusaient de sécheresse. J'ai continué à faire la vaisselle jusqu'à aujourd'hui mais je n'y passe plus autant d'ardeur ni de temps qu'auparavant. Je préfère passer vite la vaisselle pour m'affairer à des choses plus intéressantes maintenant.

La lessive c'est pareil, je la fais depuis enfant, je l'ai toujours fait depuis petite dans ma mémoire. Bien sur par la suite, je la faisais toute seule à partir de mes 12 ans.  J'ai toujours trouvé ça ahurissant de voir plus tard au lavomatic ces étudiants de 17-20 ans qui découvraient la machine à laver. Je pensais que c'était naturel de savoir la différence de couleur, le blanc, la laine, les matières de vêtements, l'essoreuse, ou mettre la poudre ou le liquide, combien de tour pour sécher, plier le linge. A chaque fois qu'un étudiant me demandait comment on faisait, je trouvais ça étonnant qu'il ne le sache pas. Il y avait aussi des étudiantes qui me demandaient mais c'était objectivement moins fréquent. Je me posais la question au début s'ils n'avaient jamais eu de machine à laver chez eux ou s'il y avait un majordome un truc comme ça. Pour moi quand j'avais 12-14 ans voir des grands me demander comment marche une machine à laver, un séchoir ou une essoreuse c'était incroyable. Bon encore, l'essoreuse je comprends, c'est pas courant à la maison, mais au moins la machine à laver avec les boutons et savoir ou mettre le liquide?! Hallucinant.

Ce qui est halluciant aussi c'est quand je fais les magasins de vêtements d'homme ou même en grande surface, il n'y a pas de mecs qui sachent vraiment sa taille ou qui le fassent tout seul. C'est toujours accompagné d'une copine qui au final décide. Les mecs ont tendance à faire vite fait l'achat comme si c'était une corvée dont il faille se débarasser le plus rapidement possible. Il n'y a pas la notion de plaisir de prendre le temps de choisir quelquechose de beau. Ils ne prennent pas le temps de considérer quelquechose qui va les embellir. C'est souvent par nécessité ultime qu'il y va, comme par exemple obtenir un pull chaud pour l'hiver, un nouveau pantalon car l'ancien est usé ou il faut une chemise car on a un repas de famille ou une soirée anniv. Moi j'achète régulièrement mais peut être parceque j'aime bien m'habiller et que je cherche toujours des beaux trucs à mettre.
Je pense faire plus tard un article sur le shopping et la différence de shopping entre mec et nana. Il y a beaucoup d'approches et de cadres différents quand on va dans un magasin de vêtement  pour homme que d'aller dans une boutique de vêtement pour femme et aussi de lingerie.

Par audrey - Publié dans : education - Communauté : DOMINATRIX
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